Devenue française en 1635, la Martinique, aussi connue sous le nom de « l’île aux fleurs », est aujourd’hui une destination de premier choix pour les touristes français.

Toutefois, avant de devenir ce lieu féérique propice à la détente et aux découvertes culturelles, la Martinique a connu de nombreux bouleversements historiques. Retour sur son histoire et les dates à retenir.

Histoire de la Martinique : arrivée de Christophe Colomb, suivie de la colonisation française

L’arrivée de Christophe Colomb

C’est le 15 juin 1502 que Christophe Colomb a débarqué pour la première fois sur l’île antillaise. Mais avant cela, les fouilles archéologiques ont permis de découvrir des traces de vie plus anciennes, datant d’environ 2000 ans avant JC, mais la population d’antan ne s’est pas installée de façon définitive.

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C’est sur la plage d’Anse Carbet que Christophe Colomb a atterri. A l’époque, il s’est émerveillé de la beauté de l’île. Cependant, la Martinique tomba dans l’oubli pendant le siècle qui suivit cette découverte. Selon les Espagnols, les terres des Petites Antilles n’étaient pas suffisamment intéressantes en termes de richesses. Plus tard, ce sont les Français qui viendront les exploiter.

La colonisation française

Le 1er septembre 1635, un aventurier normand, nommé Pierre Belain Esnambuc, a conquis la Martinique avec une centaine de compagnons, dans la première capitale de l’île. On la connaît aujourd’hui sous le nom de « Saint-Pierre ». A partir de là, l’île fût exploitée par une société à vocation commerciale.

Au début, la cohabitation entre indiens et français s’est bien passée, mais au fil du temps les relations sont devenues hostiles. Principalement parce que les Indiens ont refusé de se soumettre à l’esclavage. Cela a conduit à leur expulsion de l’île vers la fin du XVIIe siècle, sous la direction des chefs François Rolle Loubiere et Beausoleil.

La période d’esclavage

Avec le départ des caribéens, les Français se sont emparés de l’île. Et pour l’exploiter pleinement, ils ont débuté la traite des esclaves africains à la même période. Un accord royal a permis un échange courant d’esclaves et de produits européens entre l’Afrique et les Caraïbes. Les hommes esclaves étaient chargés de travailler dans les champs, tandis que les femmes et les enfants ont été réduits aux tâches ménagères. Environ 700000 esclaves ont été déportés vers les Antilles entre 1635 et 1789, principalement en Guadeloupe, Martinique et Saint-Domingue.

La fin de l’esclavage et la départementalisation

La fin de l’esclavage

A la fin de l’esclavage en 1848, les colons ont commencé à rencontrer des difficultés, situation qui se confirme avec l’abolition de l’esclavage. En effet, les affranchis ont refusé de se soumettre à leur ancien maître. Ils ont préféré cultiver les terres qu’ils ont reçues après leur libération. De là, les colons ont commencé à chercher une main d’œuvre bon marché et se sont tournés vers l’Asie et l’Afrique. Si certains chinois et africains se sont accommodés à leur nouvelle vie, d’autres ont préféré déserter les champs et retourner dans leur pays.

Il faut noter que l’importation des hommes s’est encore poursuivie, même après la fin de l’esclavage. En effet, plus de 29000 africains sont arrivés entre 1853 et 1885. En 1881, une nouvelle classe sociale est née : le Mulâtre, qui est la rencontre entre la communauté blanche et noire. Les personnes appartenant à cette catégorie, possèdent plus de privilèges que la communauté noire. En effet, elles eurent accès à l’éducation et aux professions libérales. On voit aussi apparaître une certaine mentalité qui d’ailleurs, sévit toujours à l’heure actuelle : les femmes font en sorte que leur progéniture soit la plus blanche possible. C’est le meilleur moyen pour elles d’échapper à la pauvreté.

La départementalisation

En 1946, Aimé Césaire, un jeune homme de couleur martiniquais, fût élu maire de Fort-de-France et député de la Martinique. Il a estimé qu’en s’intégrant davantage à la France, l’île emprunterait la voie du développement et de la modernisation économique. Il défend ainsi la loi de la départementalisation, pour que l’île devienne un département français de la métropole.

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